La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1554)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode N°1552) -
Chapitre 18 : asphyxié par une bite inconnue
- A genoux, donne-moi ta bouche, esclavalex !
Une nouvelle fois, je me retrouvais à genoux devant une bite inconnue, à téter un gland épais et violacé, circoncis, aux odeurs de pisse. Cette queue était longue et épaisse, à men alors quelle nétait entrée que de moitié dans ma bouche de putain.
- Avale salope, tu ne ressortiras pas dici, tant que ton nez et tes lèvres nauront pas touché mes poils et mon pubis.
Cétait mission impossible
jétais prêt à gerber, à rendre tripes et boyaux. Lui, forçait sur ma nuque tout en sintroduisant plus encore dans ma bouche, sans se préoccuper de mes spasmes, de mes soulèvements destomac. Je bavais, pleurais, avalais quelques centimètres de plus tandis quil continuait ne me laissant aucun répit, aucune possibilité de me retirer.
- Avec moi, tu vas en avoir des gorges profondes, jadore me faire dévorer la bite toute entière dans une gueule de pute comme la tienne.
Jétais au bord de l, mes lèvres étaient encore à plusieurs centimètres de la racine de ce volumineux membre si inquisiteur de ma cavité buccale. De ma bouche séchappait des mucosités, des glaires visqueuses, des larmes roulaient sur mes joues. Jétais dans un sale état, je peinais à trouver la plus petite des bouffées doxygène
- Eh bien voilà, on y arrive, tu vois quand on veut, on y arrive, la chienne
.
Lhomme avait relâché la pression sur ma nuque, sétait emparé de ma chevelure quil empoignait vivement et fermement, puis il commençait de longs mouvements invasifs, de grands coups de piston, allant cogner ma glotte à chaque fois quil senfonçait en moi. Un vrai supplice
Je néprouvais aucun plaisir physique, seuls mes neurones semblaient excités par cette situation
Ils semblaient me dire : « Tu nes quun vide-couilles, quune machine à soulager des burnes, alors contente-toi de faire ton boulot ! ».
- Avale sale chienne, avale tout ce que tu as la chance que je te donne !
A cet instant, le Dominant éjaculateur libérait sa semence chaude en plusieurs saccades, en flots successifs, en se plantant au plus profond de ma gorge, en me tenant fermement de ses deux mains plaquées derrière ma nuque
Jétais dans un état pitoyable... contraint dingurgiter ce sperme alors que lui restait planté en moi, sa queue toujours raide et immobile. Au bout de quelques minutes celle-ci mollissait, jespérais quil quitte au plus vite mon orifice buccal pour que je puisse enfin respirer normalement et reprendre mes esprits. Mais rien, il restait dans ma bouche me maintenant toujours la tête, mes lèvres contre son pubis poilu. Quattendait-il ? Soudainement, un fluide chaud coulait dans ma gorge
Il pissait, surpris je métouffais, régurgitait, recrachais
Il empoignait ma chevelure, se retirait de ma bouche, me faisait redresser la tête pour me gifler sévèrement.
- Ouvre ta gueule, putasse, je tai dit de tout avaler ce que tu avais la chance de recevoir !
Terrorisé, totalement anéanti, sans plus aucune force, jobéissais, alors que lui, urinait par à-coups pour me laisser le temps dingurgité. Dès que quelques gouttes séchappaient de ma bouche, il me re-giflait inlassablement, sévèrement.
- Nettoie ma queue maintenant, esclave de mes deux !
Enfin, le pisseur rangeait son membre dans son pantalon et mautorisait à me relever
- Au fait, tu nas rien à décider, je tembauche, puisque jai déjà obtenu laccord de Monsieur le Marquis, tu seras là demain matin à 8 heures précises, pour une journée de formation...
La messe était dite, jétais autorisé à quitter le bureau
Souillé, ma chemise blanche nétait plus que chiffon imbibée de pisse, de bave, peut-être de foutre, même si javais le sentiment davoir tout avalé.
- Prépare-toi à la prendre dans ton cul de lope, dès demain, petite pute !
Ultime humiliation ! Evidemment la secrétaire assise derrière son bureau avait tout entendu
. Pudiquement, elle ne relevait pas la tête, lorsque je passais devant elle
Il valait mieux quelle ne me voit pas dans cet état... Quoi que, je compris que sa tête restée baissée signifiait quelle devait être soumise et habituée à ce genre de situation, enfin cest ce que je supposais !
- Bon après-midi Monsieur Lapeyrière !, me disait-elle timidement, toujours sa tête regardant le plateau de son bureau, lorsque je sortais.
Premier réflexe en arrivant dans ma voiture, je me regardais dans le rétroviseur. Cest à peine si je me reconnaissais
Les yeux encore mouillés, des traces de larmes, des marques rougeâtres de mains sur mes joues, tant javais reçu de gifles, mes cheveux en bataille, avec ce goût de foutre et de pisse encore omniprésent dans ma bouche et ce sentiment dêtre tombé dans une souricière, je me sentais totalement avili, démoli, affaibli, asservi, abâtardi ! Ce dernier qualificatif semblait répondre au mieux à ce que jétais devenu, un vrai bâtard avili et assujetti
Sur le chemin du retour à la bastide, je roulais doucement, jamais je ne métais senti aussi veule, sans force, sans énergie et pire encore sans volonté. Nétait-ce point lobjectif fixé que dêtre apathique, dépendant, totalement dépendant aux Volontés et Exigences de Monsieur le Marquis ? Alors que je ressassais tout ça, mon téléphone portable vibrait dans la poche de mon pantalon. Conduisant, même à faible allure, je ne pouvais le lire
Était-ce le Maître qui madressait des sms ? Voulait-il savoir comment cet entretien sétait passé ? Non sans doute pas, il devait déjà le savoir ! Monsieur le Marquis était un homme droit, et sa perversité était honnête, loyale, franche, jamais il ne samuserait à ce jeu-là, jamais il ne prêcherait le faux pour connaitre le vrai
Jen étais convaincu ! Japprochais de Villefranche-sur-Saône, lorsque soudainement un éclair me traversait lesprit.
Arrivé chez moi, immédiatement, je me douchais vivement et me changeais puis déjeunais, tout en pianotant sur mon téléphone. Le texto reçu provenait bien de Monsieur le Marquis. Je louvrais fébrilement.
- Même si tu nes quun bien piètre suceur de bites, jai décidé de toffrir un temps de plaisir, je tenvoie cette après-midi, chez toi, pour deux heures esclavantoine
apprenez à vous connaitre, je le veux. Signé : Le Maître.
Je sautais de joie et mempressais de remercier humblement et sincèrement Monsieur le Marquis... Cest avec une grande impatience que la fin de la matinée se passait
Lorsque esclavantoine arrivait, jétais à la fois fébrile et excité. Lui semblait dans le même état que le mien. Je laccueillais sur le seuil de ma porte. Je linvitais à entrer, à sassoir sur le divan et lui proposais un café.
- Désolé, nous avons des consignes précises à respecter
Tiens, de la part du Maître !
Le dominé me tendait une feuille de papier épais portant en entête, les Armoiries du Noble. Je lisais :
« Obligation de vous mettre à poil, tous les deux, dès larrivée desclavantoine, interdiction dutiliser un quelconque mobilier pour vous assoir, vous poserez vos culs à même le sol, interdiction formelle de vous toucher, de vous caresser, de vous lécher, je vous autorise seulement à dialoguer librement.
Antoine était déjà nu lorsque je relevais les yeux. Je me désapais alors rapidement et masseyais, sur le carrelage froid, en tailleur face à lui. Pendant un long moment, nous restâmes à nous regarder, sans un mot
Nos corps, eux, parlaient ! Nos sexes respectifs et emprisonnés cherchaient à sépanouir. Hélas, ces maudites cages dacier torpillaient nos ardeurs et nos pulsions. Après un temps certain, avec un il rieur, Antoine affirmait :
- Je suis certain, quil y a peu, tu as reçu une belle correction, tes joues sont encore bien rouges !
- Oui cest exact, jai été giflé copieusement ce matin même !, lui répondis-je en souriant.
- Sans doute méritais-tu ces gifles ! Jaime être giflé également, comme ça
pour rien, ou pour me recadrer, il y a quelque chose de terriblement intense, intime dans une baffe. Cest une vraie offrande, jouissive, plus cérébrale que sensuelle, une puissance émotionnelle. Une gifle peut être très humiliante, surtout si celle-ci est donnée en public. Quelles que soient les circonstances, à chaque fois que jen reçois une, jai envie de me prosterner, doffrir tout ce que je peux offrir, mon corps, mon âme, ma soumission, avec le sentiment dêtre possédé tout entier.
Antoine venait dexprimer ses ressentis avec une certaine fierté, il sétait redressé, mavait regardé droit dans les yeux, son regard manifestait de la conviction, de la sincérité. Ses yeux bleus, me faisait frissonner.
- Sais-tu pourquoi le Maître nous autorise ce temps et cette conversation ?, linterrogeais-je
- Nullement, mais avons-nous besoin den connaitre la raison ? Ne sommes-nous pas faits pour simplement obéir, sans se poser de questions ? Tu sais Alex, je suis au service du Maître, Monsieur le Marquis, depuis cinq ans maintenant, jai appris à lâcher prise, à ne plus minterroger, à faire simplement ce que lon exige de moi, sans penser, sans plus réfléchir, je ne suis que Sa chose, Son objet, Son jouet. Jobéis résolument telle une marionnette, délibérément les yeux fermés, avec obstination, toujours vaillamment et fièrement. Cest ainsi que le Maître veut voir celles et ceux quIl Domine.
Antoine était un vrai soumis, il exprimait ses opinions avec éloquence et sérieux. Il mapprenait quil était entré au service de Monsieur le Marquis par hasard, un soir dautomne. En fait, il navait été que monnaie déchange entre le Noble et un homme qui le dominait occasionnellement. Ce dernier, criblé de dettes, au désarroi, sans plus un centime en poche était venu au Château pour quémander quelques euros à Monsieur le Marquis afin quil puisse couvrir ses charges mensuelles futures. Le Noble avait accepté de lui donner la somme demandée, à la condition quAntoine accepte librement, de bon gré, dêtre à Son service.
- Evidemment
jai accepté, sans même connaitre Monsieur le Marquis. Dès le premier instant, jai vu et compris que cet Homme était un Dominant hors pair, avec un Charisme évident, dune Autorité certaine, tout ce dont javais et jai tant besoin encore aujourdhui pour vivre ce que je suis, pour développer mon asservissement et mon assujettissement.
Antoine me parlait ouvertement encore de son enfance, malheureuse, avec un père alcoolique, une mère sans affection. Il me racontait son adolescence, avec la difficile réalité de sa sexualité, son attirance pour les hommes et la soumission, avec ses difficultés scolaires, ses redoublements successifs, son bac professionnel quil ne put décrocher, ses errances professionnelles, ses jours interminables passés dans la rue, à chercher chaque soir un endroit calme pour dormir, son recours à la prostitution pour subvenir à ses besoins essentiels
Bref, une vie misérable jusquà cette rencontre avec cet homme, un client, lui permettant dassouvir ses penchants sexuels qui nétaient que fantasmes depuis sa puberté. Il se soumettait à lui deux à trois fois par mois moyennant quelques euros, jusquà cet instant où lhomme en question, lui annonçât quil ne pouvait plus le rémunérer de ses « services ». Antoine avait continué à le voir, sans plus se faire payer, juste pour le plaisir de se soumettre à lui
- Tu comprends mieux Alex pourquoi je nai pas hésité un seul instant à la proposition de Monsieur le Marquis dEvans ! Certes, javais besoin de sécurité, mais javais surtout besoin de vivre pleinement ces désirs et penchants archaïques enfouis en moi depuis toujours.
esclavantoine me racontait encore, que depuis quil était entré au service du Maître, il était devenu heureux et comblé. Il vivait ce pourquoi il était fait, une vie de contrainte, dobligations, de résilience, de soumission.
- Quil est bon de nêtre quun vide-couilles, quun esclave malléable et corvéable, quune putain qui sassume pleinement, qui na plus dégo, qui subit, parfois souffre pour le plaisir du Maître, quune chienne qui se donne avec fierté, sans la moindre pudeur, offrant son cul et sa bouche à tous ceux choisis par le Maître !
Son sexe contraint reprenait un beau et bon volume :
- Hummmm, comme cest bon de ne pas pouvoir se palucher, de souffrir de la nouille, de la sentir grossir, de la voir boursouffler, se dilater, de la voir sr contre les grilles de cette cage
.
Au cours de cette conversation japprenais quAntoine travaillait aussi dans une entreprise de transport, détenue par Monsieur le Marquis, quil vivait dans un appartement, propriété du Noble, à Villefranche-sur-Saône. Comme moi, il se rendait au Château dès que le Maître lexigeait. Je me livrais à mon tour, lui faisait part de mon enfance heureuse, ici à la bastide, du drame vécu avec la disparition de mes parents, de cette révélation que le Maître avait bien voulue me communiquer, celle de mes parents esclaves MDE !
(A suivre
)
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